À la tombée de la nuit, quand le fond de l’air se rafraîchit, revivez comme si vous y étiez les grandes heures du festival de San Remo avec Mauro Paccagnella et Alessandro Bernardeschi et dansez sur dix mille bulles bleues… Le duo italo-belge de Wooshing Machine a cela en lui de Fellinien qu’il aime le débordement, la folie, le travestissement. Pour ce bal imaginé spécialement pour la clairière enchantée du Bois de l’Aune, ces excentriques éclairés célèbrent les années 70, John Travolta et d’un clin de Ray Ban font de l’oeil aux grandes icônes italiennes Mina, Raffaella Carrà, Adriano Celentano mais aussi Nino Rota et Ennio Morricone. Une occasion en technicol’or à partager des danses libres, à apprendre à danser ensemble et à ramener quelques pas chez soi… Plumes, paillettes et cha-cha-cha, la rentrée est festive alors dansons maintenant !

Alessandro Bernardeschi a fait ses études au D.A.M.S de Bologne, vit entre Bruxelles et Madrid, a travaillé avec Paco Decina, Catherine Diverrès, Karine Ponties, François Verret, Marco Berrettini, Olga De Soto, Georges Appaix... Pendant quinze ans, à partir de 2000, il interprète toutes les pièces de Caterina Sagna et dès 2002, il y retrouve régulièrement le danseur et chorégraphe italien, Mauro Paccagnella. Celui-ci est, entre autres, le fondateur et directeur artistique de Wooshing Machine qui a produit une trentaine d’œuvres depuis 1998, le chorégraphe et metteur en scène de Infundibulum et Sinué de Feria Musica, compagnie de cirque contemporain belge et est aujourd’hui artiste associé au Théâtre des Tanneurs à Bruxelles.
Ensemble, ils créent Happy Hour en 2015, premier volet de la Trilogie de la mémoire et de la cinquantaine, suivi par El Pueblo unido jamàs serà vencido. Closing Party, prévue en 2020, clôturera le cycle.