J’adore mon père, mais bon.
Mohamed El Khatib poursuit ses investigations joueuses entre théâtre et documentaire, avec le sourire sérieux d’un enquêteur gourmand de l’histoire des autres, cette fois avec la complicité d’anciens élèves de l’École du Théâtre National de Bretagne et de leurs parents. Il construit une pièce chorale réjouissante d’intelligence et d’humour, un patchwork joueur et savant comme il aime les faire, de témoignages, de récits et d’inventions, qui brossent un portrait mi-grave et mi-léger des relations parents-enfants.