Représentations annulées
Anaïs Müller et Bertrand Poncet, sous de faux-airs d’autodérision, font un duo d’acteurs jubilatoire ; toujours sur un fil entre philosophie existentielle et joie du jeu. Ils vont au bal, ils y trouvent Marguerite Duras et les fantômes de ses personnages. Ha tiens. Puis Bertrand se demande si Anaïs ne devient pas Marguerite elle-même. Puis ils écrivent entre eux une histoire à tiroirs, un peu déjantée, par exemple celle d’un frère et d’une sœur, qui s’aimeraient plus que tout, jusqu’à en perdre leur identité.
SHINDO Là où je croyais être il n'y avait personne from Drôles de Dames on Vimeo.